De par la même, me voila désappointé….
De part vos maux ; Je me trouve mendiant dans mes rues.
De part votre geste je ne suis plus qu’une vue.
D’un cillement de cœur, de vos humeurs, mon amour, j’aime la mort,
Je me meurs encore, je meurtrie mon âme,
je détruis mon corps, j’extirpe une larme.
Comment faire pour exprimer le manque de l être cher ?…
Ce corps qui tangue, cet être qui m’enterre, à son tour m’étouffe et me lacère.
Mais tout n’est que peccadilles agiles, et fortuites rencontres, aux faits de l’infortunes.
Haut fait de la conscience imparfaite, d’un humain mal agile,
Imparfait d un inconscient fait d’instincts trop fragiles.
Vue suggestive, suggestion de la vie, vue sensitive, ni connue ni apprise,
Mal m’a prit et mal me prend.
Male est la vie emplie de tourments,
Sens plus du rendu que vouloir cette mort,
Alors que tant d autre aspirent à cette envie ?….
Non plein de rien, d’un soudain instant…d un soudain moment,
Je fais le plein d un je ne sais rien, je me vide de tous tourments,
Ma peine passagère à votre vue s’abstient,
fugitive et l instant mais je le retiens.
Instantané sera-t-il, comme d’infortunées peccadilles.